Orientations pour l’Administration des Biens

La prière était centrée sur l’espérance :
« Garder l’espérance c’est croire que l’histoire se poursuit en demeurant ouverte à la présence de Dieu.
Garder l’espérance signifie que le rêve de pouvoir changer le monde et le convertir en un monde où il n’y aura plus faim, ni injustice, ni exclusion, est possible.

VENDREDI  27

 

La prière était centrée sur l’espérance :

 

« Garder  l’espérance c’est croire que l’histoire se poursuit en demeurant ouverte à la présence de Dieu.

Garder l’espérance signifie que le rêve de pouvoir changer le monde  et le convertir en un monde où il n’y aura plus faim, ni injustice, ni exclusion, est possible.

C’est ce que font ceux qui vont par le monde au nom de Dieu en y portant son message.

Garder l’espérance c’est  croire dans le pouvoir révolutionnaire de la foi pour que l’Esprit  puisse renouveler toutes choses.

Garder l’espérance c’est recommencer chaque fois que c’est nécessaire.

Garder l’espérance  c’est croire que l’espérance n’est pas ce qui meurt en dernier.

Garder l’espérance c’est croire que l’espérance ne meurt jamais. Garder l’espérance signifie vivre. »

 

Thème du jour

 

Se centrer sur le Document : «  Orientations pour l’Administration des Biens »   (Rome 2007)

 

Quelques mots de Marian pour signaler les concepts de base et orienter le travail à réaliser.

 

« Le travail d’aujourd’hui  porte sur « Les Orientations pour l’Administration des Biens. Ces orientations ont été écrites en 2007 par Françoise Aubin et l’Equipe  afin de fournir à tout l’Institut des critères  communs en rapport avec ces orientations.

Nous les avons utilisées à partir du dernier Chapitre mais il était nécessaire  d’éclairer certains concepts et d’actualiser quelques aspects. »

 

Quelle a été la méthode de travail ?

 

En groupes  linguistiques puis  en assemblée,  on a éclairci les doutes et apporté des suggestions afin  de mettre à jour  les  « Orientations pour l’administration des Biens »

 

« Le vœu de pauvreté … . nous engage à dépendre des supérieures légitimes pou user et disposer des biens matériels, à mettre en commun nos ressources : fruits du travail, dons, pensions et assurances dont les droits sont acquis après la première profession. Chaque sœur reçoit de la communauté ce dont elle a besoin.  » 

 

(Constitutions – art 23 – cité dans « Orientations pour l’Administration des Biens » , p.15)