CROYANCES DIVERSES – ACTIONS COMMUNES

Vous connaissez tous, notre collaboration et participation au Conseil Européen des Leaders des Religions (ECRL), ainsi, une fois de plus je vous envoie une courte information pour vous faire participer à tout ce que je reçois et que nous recevons en faisant partie de ce groupe.

CROYANCES DIVERSES – ACTIONS COMMUNES

 

 

Vous connaissez tous, notre collaboration et participation au Conseil Européen des Leaders des Religions (ECRL), ainsi, une fois de plus  je vous envoie une courte information  pour  vous faire participer  à tout ce que je reçois et que nous recevons  en faisant partie de ce groupe.

 

Une délégation de l’ECRL a été invitée, fin 2011, pour une visite de solidarité  au Kirghizistan

 

 

 

L’évêque Gunnar Stälsett a conduit du 19 au 22 décembre,  cette délégation de l’ECRL, composée de l’imam Ibrahim Mogra, de la sœur Marian Murcia, du professeur Senald Bülent , de Mr Vakhtang  et du secrétaire  général Stein Villumstad .

 

Cette visite au Kirghizistan faisait suite une première visite de la délégation en janvier 2011 et à la conférence convoquée par l’ECRL, pour soutenir  les leaders religieux du Kirghizistan dans leurs efforts pour  la réconciliation et la construction de la nation à la suite des conflits violents survenus dans le pays. La délégation de l’ECRL a gardé des contacts  avec les représentants du gouvernement, des leaders religieux, des groupes de la société civile et avec les organisations internationales, de Bishek et Osh. La délégation a été informée sur la progression et les défis du développement politique et économique du pays depuis l’agitation sociale et politique de juin 2010. On a entendu  les efforts accomplis par  la société civile  pour aborder les défis quant aux  droits humains et nous avons reçu une information  concrète sur l’initiative de mettre en route un possible mécanisme au service de la coopération entre les religions, soit,  un conseil interreligieux.

 

Ainsi, nous espérons motiver nos frères et sœurs du Kirghizistan pour qu’ils poursuivent un  processus de coopération interreligieuse, de réconciliation entre les groupes  et les communautés, de compassion avec les groupes plus vulnérables et entament un engagement constructif avec les autorités pour la construction de la nation kirghiz.

 

 

 

Dialogue sur « le printemps arabe », un processus en évolution

 

Les 10 et 11 janvier 2010, nous nous sommes réunis, une vingtaine de leaders des religions au Centre National de la Culture en Norvège  pour connaître le processus qui est en route concernant le « printemps arabe » : il y avait des représentants  du Conseil des Religions pour la Paix du Moyen Orient et de l’Afrique du Nord (MENA) ainsi que des représentants de l’Afrique et de l’Europe, tous réunis pour explorer les défis et les possibilités pour la construction de la nation  depuis « le printemps arabe ». Cette  consultation  fait partie d’un processus d’action des « Religions pour la Paix »  qui a débuté par une rencontre du Conseil du MENA de Religions pour la Paix  à Marrakech, en novembre 2011.

 

Organisée par le Conseil Européen des Leaders des Religions (ECRL) cette consultation était centrée sur les défis et les opportunités qui surgissent des révolutions et des révoltes qui ont éclaté dans plusieurs pays du Moyen Orient et de l’Afrique du Nord cette dernière année, et qui se déroulent encore actuellement.

 

Nous avons noté l’importante participation populaire et le rôle joué par  les femmes et les jeunes comme une des principales caractéristiques de ces révolutions. Nous avons aussi  examiné le rôle des leaders religieux  avec leurs propres communautés, les autres communautés religieuses, les autorités politiques et les mouvements pour le changement.

 

Notre rencontre a aussi considéré la réponse  européenne au « printemps arabe » et a analysé les possibles manières d’interaction entre les divers leaders des religions  et leurs communautés afin de dépasser les frontières nationales et régionales.

 

Les participants se sont engagés avec enthousiasme à participer avec d’autres à la promotion du développement démocratique, des droits humains, de la justice sociale et de la dignité humaine, dans leurs propres pays et dans la région.